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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 12:39

À l'ombre de la Bible. Scènes de vie ; aux éditions Golias, janvier 2014

michel_theron_a_l_ombre_de_la_bible.jpgMichel Théron, agnostique de culture chrétienne, nous propose une utilisation toute littéraire de la Bible. Rappelons que « Bible » ne veut pas du tout dire révélation ou parole de Dieu, mais tout simplement une bibliothèque : imaginez donc un meuble avec plusieurs rayonnages pour y placer des livres ou encore la bibliothèque municipale de la ville où vous habitez. L’intérêt de cette bibliothèque est que les auteurs des livres, connus ou inconnus, réels où pseudonymes, parfois plusieurs pour un même ouvrage, etc., ont partagé le long d'une longue chaîne de générations une même culture historique et religieuse, une même tradition, une même foi, si bien que les plus récents se font l’échos des plus anciens. De là l’inséparabilité, contrairement à ce que proposait Marcion au IIème siècle par anti-judaïsme, entre sa partie hébraïque et juive (l’Ancien ou le Premier testament), d’une part, et sa partie chrétienne (le Nouveau testament), d’autre part. Par exemple, on ne peut pas comprendre Jésus si on le coupe de ses racines juives comme on l’a fait pendant trop longtemps.


De même, nous dit Michel Théron, le lecteur de ces livres en imprègne tout son être et c’est d’une façon toute spontanée que, déambulant dans sa quotidienneté, son regard croise sans cesse sa mémoire et que cela évoque pour lui des scènes bibliques. Dès lors, notre vie est placée à "l’ombre de la Bible".


Pourrait-on vivre sans culture ? A défaut des cultures livresques, il y a celles des champs, des fermes, des ateliers d’artisans, des usines, des mines, de la rue vagabonde, des gangs de jeunes, de l’Internet, des vidéos, etc. Mais voilà que pour Michel Théron, et avec lui toute une génération de juifs et de chrétiens (on pourrait y ajouter de musulmans car le Coran régurgite à sa façon la Bible), c’est la Bible qui joue le rôle d’héritage, de patrimoine culturel, de référence libre et acceptée, de nourriture de sens, car nous ne sommes plus ici dans une lecture dogmatique mais tout simplement culturelle.


Foin donc des prétentions religieuses qui font de la Bible une « parole » de Dieu lui-même comme si Dieu avait besoin d’un porte voix ou encore de prophètes perroquets. Un prophète est certes inspiré, mais il l’est par sa propre foi et ses convictions personnelles et il n’engage que lui-même. De même, nous dit l’auteur, le lecteur « s’inspire » de cette mémoire biblique qu’il a emmagasiné en lui et qu’il va utiliser à sa guise sans pour cela prétendre parler au nom de Dieu. Nous sommes donc ici aux antipodes du fondamentalisme qui considère, quant à lui, que ce sont là des textes directement inspirés d’en haut.

Pour en savoir plus, voir sur le blog personnel de l’auteur (lien) et ne pas oublier de cliquer sur l’interview qu’il a donné à son éditeur. Nos lecteurs trouveront dans notre même rubrique "le temps des évangiles" (lien) des présentations d’autres livres de l’auteur ; ou encore faire « Michel Théron » au niveau de la recherche d’articles (colonne latérale à « Rechercher »).

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14 août 2013 3 14 /08 /août /2013 16:42

jardins_de_chanabier.jpg

Les Jardins de Chanabier sont une entreprise horticole sise à Aubenas, le long d’un bras mort de l’Ardèche, dont on peut voir les réalisations sur sa page Facebook « jardinsdechanabier ». En plus, Nathanaël Bechdolff, qui mène l’affaire, souhaite y adjoindre un Jardin botanique de la Bible où il y aura les arbres fruitiers qui y sont cités (vignes, figuiers, mûriers, oliviers, etc.) et les plantes. Mieux, l’utilisation d’une source permettra de se référer entre autres au Jourdain et à la piscine de Siloé. Le visiteur baignera d’ailleurs dans l’ambiance de la Terre promise avec des lieux symboliques comme l’arche de Noé (dotée de jeux pour enfants), le Désert, le Jardin de Gethsémani, etc. Chrétien évangélique, l’initiateur de ce projet vit cela comme une aventure de foi. Afin d'acquérir le terrain nécessaire, il envisage de constituer un Groupement foncier agricole (GFA) dans lequel des personnes pourront investir des parts. Pour contact : jardinsdechanabier@orange.fr

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20 avril 2012 5 20 /04 /avril /2012 18:56

    L'ombre de David, par Jean-Luc Fonty, aux éditions Bénévent, paru en avril 2008, 338 p. , vendu 21,19 euros sur Priceminister (lien)

    jean_luc_fonty_l_ombre_de_david.jpg

    Résumé :

    Que l'on soit croyant ou non, l'affaire Jésus a pénétré dans tous les rouages de notre civilisation. Cependant, malgré tous les livres parus, c'est l'histoire la plus controversée et la plus méconnue. L'interrogation persiste sur cet homme : qui était-il ? Tout commence par la découverte, chez un libraire assassiné, d'un mystérieux parchemin qui raconte la vie d'un Nazoréen. Quel secret dissimule-t-il ? Lordson, historien des religions, entreprend une enquête qui va recouper étrangement les traces de Jésus. Si l'intrigue du récit est fictive, la réalité du contexte historique permet d'apporter un éclairage nouveau sur Jésus et sur les personnages énigmatiques des évangiles. Les principaux chapitres se terminent par une lettre de l'auteur à un certain Philosophus : elle résume l'opinion de l'auteur et justifie ses découvertes.


    A propos de l'auteur :
    Jean-Luc Fonty a arrêté ses études de théologie pour travailler en usine. Cependant, passionné par l'exégèse, il est resté fasciné par l'histoire juive du premier siècle et par celle de Jésus Le Nazoréen. Il est l'auteur de poésies et de contes pour enfants avec des peintures originales de l'artiste peintre Izabel, et de pièces de boulevard pour théâtre amateurs. Il anime un groupe de théâtre, la Troupe du Pont Tournant, qui prépare l'une de ses créations sur la vie et l'oeuvre de Molière, "Molière en mille morceaux".

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    19 janvier 2012 4 19 /01 /janvier /2012 09:41

    "Etre chrétien dans la modernité. Réinterpréter l’héritage pour qu’il soit crédible" par Jacques Musset *, à paraître à la fin du mois de janvier aux éditions Golias.

    * Jacques Musset a été successivement aumônier de lycée, animateur de groupes bibliques et formateur à l'accompagnement des malades en milieu hospitalier.  Il a écrit plusieurs livres sur l'aventure spirituelle. Il est très actif au sein de l'Association culturelle Marcel Légaut.


    Ce livre se veut délibérément constructif. Il est né de questions  que se pose son auteur depuis plus de 40 ans et qui sont partagées par de nombreux chrétiens.  Constatant le grand décalage – immense fossé - entre ce que Jésus a été, ce à quoi il appelait en paroles et en actes,  et  l’imposante doctrine catholique que professe à son sujet leur Eglise, ils s’interrogent : comment en est-on arrivé historiquement à une pareille distorsion qui frise l’infidélité ? Pourquoi cette doctrine n’est-elle plus crédible dans la modernité présente par un grand nombre de baptisés et de non-chrétiens ? Comment est-il possible de réinterpréter l’héritage venu du nazaréen pour qu’il soit Bonne Nouvelle aujourd’hui ? Dans la culture actuelle qui n’est plus celle d’hier et d’avant-hier  et dont les représentations sur le monde, l’homme et son destin  sont différentes de celles d’un passé révolu, comment dire et vivre à nouveaux frais l’Evangile débarrassé d’un carcan doctrinaire, dogmatique et moralisateur ?  A quelles conditions ? Selon quelles exigences ?


    Le livre se veut une analyse critique de la doctrine officielle de l’Eglise Catholique qui prétend exprimer la Vérité divine. Son auteur la conduit  avec rigueur en montrant comment et dans quels contextes religieux, culturels et politiques elle s’est constituée. Mais en déconstruisant cette doctrine et en  en manifestant sa relativité, l’ouvrage propose  des voies alternatives, cohérentes avec le message et la pratique de Jésus  et enracinées dans la culture de la modernité actuelle. Car la fidélité n’est pas répétition mais recréation permanente.

     

    Sommaire de l'ouvrage :


    I. Une nécessité vitale


    II. Conditions pour  réinterpréter l’héritage
    Conditions psychologiques :  Nécessité de s’approprier tout héritage pour qu’il soit vivant
    Conditions spirituelles : Se donner et non se prêter, / A ses risques et périls / Faire preuve d’intégrité  dans sa démarche / S’inspirer de la démarche de Jésus en son temps vis-à-vis de sa propre Tradition spirituelle ;
    Conditions concernant l’objet du travail : Abandonner la prétention de détenir la Vérité / Concevoir la transmission comme dynamique / Consentir à  la relativité des discours religieux / Identifier les chantiers de l’héritage là réinterpréter / Comme méthode : le débat ouvert / Faire preuve d’intelligence critique, consentir à ce que la recherche n’ait pas de limites imposées au point de départ / Partir de l’homme et de son expérience


    III. Les chantiers d’une réappropriation de l’héritage :

    Le Christianisme,  la Voie ou une voie ? / Une autre approche de Dieu / Une approche renouvelée de la Révélation : quand Dieu parle, qui parle ? /   Dieu a-t-il un projet sur le monde ? / Redonner corps à l’homme Jésus et à son message / Jésus ressuscité ou à re-susciter ? / Jésus, un dieu incarné ou  « l’un d’entre nous avec une intensité  d’exception » ( S. Breton) ? / Les commandements de Dieu sont-ils tombés du ciel ? / Pécheur ou faillible ? / 10° Prier Dieu ou se laisser prier par Dieu ? / 11° Un au-delà de la mort pour les hommes ? / 12° La fin du monde et le retour du Christ ? / 13° Une Eglise d’autorité ou d’appel ? / 14° Désacraliser les sacrements.  / 15° Désacraliser et « désacerdotaliser » les ministères / 16° Peut-on être de la famille spirituelle de Jésus sans être chrétien ?

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    18 décembre 2011 7 18 /12 /décembre /2011 19:53

    it-s-a-girl.jpg

     

    Selon les évangiles, Jésus eut des frères (qui eux sont nommés) et des soeurs (qui elles ne sont pas nommées) (Mt 13, 55-56 et Mc 6, 3), that is the difference ! De sexe féminin, le Petit Jésus n'aurait donc même pas été nommé ! Or, pas de Petit Jésus, pas de christianisme, et pas de christianisme pas d'islam non plus car Muhammad a embrayé sur le messianisme christique ; la face du Monde en aurait été assurément changée.

     

    Fort heureusement, les exégètes déconstructivistes (des bobos savants qui systématiquement mettent en doute tout ce qui est écrit jusqu'à présent sans prendre le temps de reconstruire derrière eux ; un peu comme Attila chef des Huns), nous expliquent doctement (car ce sont les docteurs de Loi d'aujourd'hui !) que peu importe puisque ce sont les premiers chrétiens qui ont tout inventé comme de braves romanciers (bien dommage qu'il n'y avait pas à l'époque de prix Goncourt et compagnie car ils auraient à coup sûr raflé tous les prix, un tas de bons prix !). Bref, toujours selon eux, on n'a pas même pas besoin que Jésus soit né car çà a roulé tout seul, sans lui, grâce à la crédulité des gens de l'époque, grâce aussi - paraît-il - à un excité imaginatif nommé Paul de Tarse, éminence grise ! Et puis, le pape lui-même nous dit que, somme toute, c'est le Jésus de la foi qui compte (qui conte !) et non point le Jésus historique. Foin donc des études et vive le spirituel religieux !

     

    A contre courant, certains unitariens français, plutôt besogneux et du genre glébeux, s'entêtent comme des bénédictins ! Ils vous souhaitent de bonnes fêtes de fin d'année, du solstice d'hiver à la Noël, avec deux (gros !) dossiers (eh oui ! c'est à lire !) : l'étude des Nativités, soit déjà 9 articles mis en ligne sur le site des Etudes unitariennes (lien), à partir des concepts de ré-incarnation (de héros historiques) et d'incarnation (du Logos, de Dieu) ; et puis un historique des fêtes de la Noël avec le sapin aryen des Perses et de Mithra, un saint Nicolas qui se ballade chez les gnomes d'Europe du Nord puis aux Etats-Unis à bord d'un bâteau espagnol, sans oublier bien sûr le Petit Jésus placé dans sa crèche par saint François d'Assise (sur le site de notre Eglise, à la rubrique "nos fêtes, cérémonies et rituels", avec déjà 8 articles, lien).

     

    Bonnes fêtes de fin d'année et bonnes lectures !

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    13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 14:51

    michel_benoit_silence_oliviers_1couv.jpegBENOÎT Michel, 2011 - Dans le silence des oliviers, Paris, Albin Michel, 202 p., 19 euros, roman, paru en avril.

     

    Jésus, peu de temps avant son arrestation, se remémore les deux années de sa vie publique. Un roman historique s'appuyant sur les recherches exégétiques de l'auteur et qui vient après d'autres livres qu'il a écrit sur Jésus : Dieu malgré lui, Jésus et ses héritiers, Le 13ème apôtre.

     

    Michel Benoît tient un site et y publie des articles de grande qualité (lien).

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    22 septembre 2010 3 22 /09 /septembre /2010 18:01

    Michel Théron vient de publier chez Dervy un livre intitulé "Une voix nommée Jésus : l'évangile selon Thomas" ( lien).


    theron_une_voix_nommee_jesus.jpgAgnostique de culture chrétienne, l'auteur propose une approche littéraire, par les mots, qui permet à la fois une meilleure compréhension des textes, une sensible amélioration ou rectification des traductions, un rebondissement dans la pensée contemporaine. Les vieux textes en ressortent tout rajeunis, requinqués, revitalisés. 


    Auteur généreux, Michel Théron collabore activement à la revue Golias - qu'il émaille de "billets du sacristain" fort pertinents, tient en haleine les auditeurs d'une radio locale basée à Montpellier, assite chaque année aux Journées nationales du protestantisme libéral organisées par Evangile et Liberté, participe activement au groupe "Croissance spirituelle" des unitariens français (en y proposant chaque semaine un thème d'échange) ( lien), etc. Il révèle les multiples facettes de son talent dans un blog perso qu'il vient de lancer ( lien).


    Si vous souhaitez bénéficier de toute la richesse de sa spiritualité, lisez ses livres et inscrivez-vous au groupe d'échange spirituel mis en place par l'Eglise unitarienne francophone "Croissance spirituelle" ( lien).

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    22 août 2010 7 22 /08 /août /2010 06:35

    Roger_Gau.JPGRoger Gau, chrétien unitarien français a publié deux ouvrages dont voici les références.

     

     

     

     

    2010 – Chrétien unitarien ; Jésus n’est pas Dieu ; Dieu merci, publié par eBookPulp, 68 p. (atelier Savoir / religion et ésotérisme, mise en ligne le 4 juin, lien).

     

    Prologue : "Je connais le tabou qui est attaché à la religion et à la croyance. Plusieurs siècles d’obscurantisme sont difficiles à effacer. Je respecte toutes les croyances et je vous demande de respecter la mienne.

    Cet essai est pour l’essentiel une étude bienveillante et critique des textes de base des religions chrétiennes et surtout de l’interprétation qu’elles en ont faite. Il n’est pas en accord avec ma communauté protestante d’origine et je me suis alors rapproché des protestants libéraux. Mais leur croyance n’étant pas nettement affirmée, je me situe, en attendant, comme chrétien unitarien."


    En quatrième de couverture : "Cet essai, à travers ma croyance, est une critique des rites, dogmes, symboles, signes, sacrements, lecture de la Bible, etc., des religions chrétiennes. Peut-être va-t-on me reprocher de vouloir ainsi vider les

    Églises. Ce processus est engagé depuis longtemps et je pense que les Églises ont une grande responsabilité. Par cet essai, je voudrais au contraire ramener les brebis égarées, pas vers la religion, mais vers une croyance monothéiste authentique.

    Ma démarche ne cherche en aucune manière à susciter des luttes stériles et à entretenir de vaines polémiques, mais mon projet est de maintenir une qualité de réflexion, de participer dans un climat fraternel à des débats, d’ouvrir le chemin vers un véritable dialogue.

    Partisan de la théologie libérale, j’entends défendre le principe de la liberté de conscience face aux dogmes et aux doctrines qui étouffent la Parole de Dieu. Après avoir longtemps cherché ma voie, je me considère comme chrétien unitarien."


    2010 – Evangile de Jésus de Nazareth à la manière de Thomas Jefferson, publié par eBookPulp, 26 p. (atelier Savoir / religion et ésotérisme, mis en ligne le 6 juillet, lien)


    En quatrième de couverture : " Évangile c'est-à-dire enseignement de Jésus de Nazareth. Évangile au singulier, car les quatre Évangiles sont différents, mais, plus grave, ils sont parfois contradictoires. Cela fait désordre. J’ai donc choisi d’avoir un seul Évangile basé en priorité sur celui de Marc. Pourquoi ? Parce que Marc était le disciple de l’apôtre Pierre et qu’il a été le premier à écrire son Évangile. Matthieu et Luc s’en sont d’ailleurs largement inspiré et Jean a écrit beaucoup plus tard.

    "À la manière de Thomas Jefferson", qui dans sa Bible a soustrait tous les miracles et actions de Dieu. Pourquoi soustraire les miracles et actions de Dieu ? Mes arguments sont les suivants : le miracle est un dérèglement des lois de la vie, de la maladie et de la mort ; si Dieu est le Créateur des lois naturelles du fonctionnement du monde, pourquoi contrarierait-il, en effectuant un miracle, le fonctionnement de ces lois ? D’autre part, le fait que Dieu

    puisse accorder une guérison miraculeuse à certains et pas à d’autres me pose un problème. La guérison d’un miraculé parmi un million paraît bien injuste et arbitraire.

    Il est reconnu scientifiquement que certainesguérisons ont lieu par « l’effet placebo », qui est considéré comme une forme légère de l’hypnose ou de l’auto hypnose. Il me paraît bien évident que la foi puisse favoriser cet effet, et à cet égard, Jésus a sans doute joué un rôle déterminant dans les guérisons décrites dans les Évangiles."


    Pour trouver ces publications, on peut aller aussi sur le site personnel de l'auteur (lien).

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    10 juillet 2010 6 10 /07 /juillet /2010 19:07

    manuscrit_ethiopien_4_siecle.jpgUn manuscrit illustré du IVème siècle a été découvert par Blair Priday, membre du Fond du patrimoine éthiopien, dans un monastère chrétien en Ethiopie. C'est le plus ancien manuscrit illustré.

     

    photo vue sur Zigonet


    Est-ce le Jésus enseignant, avec les deux doigts levés, assis sur un trône royal couvert d'une peau de léopard, auréolé de sainteté ? En tout cas, c'est de toute beauté.

     

    A ses pieds le poisson pêché, symbole des convertis "Vous serez pêcheurs d'hommes".

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    23 juin 2010 3 23 /06 /juin /2010 09:26

    Découverte à Rome : les icônes de Pierre, Paul, André et Jean, datant de la fin du IVe siècle, se trouvent au plafond d'une petite chambre funéraire dans les tons ocres et rouges située dans les catacombes de Santa Tecla.  Ces dernières sont situées à environ 500 mètres de la basilique Saint-Paul-hors-les-murs, l'une des quatre basiliques majeures de la capitale italienne, où se trouve la sépulture de Saint-Paul. Pour André et Jean, il s'agit des plus anciennes représentations.

     

    paul_rome_fin_4eme-siecle.jpg

    Ces catacombes avaient été édifiées à la demande d'une "nobildonna" (femme appartenant à une famille noble, mais sans titre de noblesse). "Cette découverte démontre l'introduction et la diffusion du culte des apôtres aux origines du christianisme", a expliqué Barbara Mazzei, directrice de la restauration de cette chambre funéraire.


    Extrait de l'article du Journal La Croix, le 22 juin 2010 (lien)


    la photo est de l'AFP (SOLARO/AFP) : Un archéologue montre l'icône de saint Paul découverte dans les catacombes de Santa Tecla à Rome .

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